toute cette affaire? Personne ne le sait trop, puisqu'il n'y a pas de réponse dans les archives.

Mais si l'on se fie au livre de J.D. Michaud:

"Le combat finit, non pas "faute de combattants", mais parce que le bon et Saint Curé trouvait qu'il avait assez duré. (1)



À la suite d'un décret émis, le 13-08-1869, par les autorités religieuses, les paroissiens décident d'agrandir l'église et de construire une nouvelle sacristie.

Agrandissement de toute la sacristie actuelle et ajouter un sanctuaire de trente pieds de longueur par trente pieds de largeur de manière à laisser neuf pieds de chaque côté pour y placer les petits autels.

à la suite du sanctuaire, une longueur de quarante pieds et une élévation de douze pieds entre les planchers pour la sacristie.

Cet édifice reposera sur un solage de pierre et entrera de vingt-sept pieds dans le cimetière.

Après exécution de ces travaux, on l'entourera d'un revêtement de briques.

L'église étant agrandie et et lambrisée de briques, on se préoccupe de l'ornement de l'intérieur de l'église.

Le sieur F.X. Labelle, photographe de Rimouski, fait orner de miroirs le maître-autel, surmonté d'une magnifique statue du Sacré-Coeur de Jésus, payée par une souscription volontaire de la paroisse Sainte-Cécile, aussi une statue de Notre-Dame de Pitié installée la même année en 1876.

Un bazar, organisé par les dames du Bic, qui rapporte la somme de $200.00 sert pour l'achat de deux autels, de la Ste-Vierge et de St-Joseph. Le surplus ira pour l'achat d'ornements, de gravures, etc.

(1) J.D. Michaud. Le Bic. Tome II, p. 148.