serait encore viable.

En 1830, la paroisse comptait 115 âmes. En 1832, elle n'en avait plus que 90 âmes.

Le 1er décembre 1842, Simon Marceau, ptre, curé de St-Simon et desservant de St-Fabien, proposait à Mgr Signay de faire disparaître la paroisse de Sainte-Cécile et d'annexer son territoire à St-Fabien.

Il ne voyait pas de possibilité de former une paroisse dans St-Fabien, les rangs trois et quatre sont presque inhabitables, de même que le premier rang du Bic, qui est un terrain pauvre et se trouve presque dans l'impossibilité d'aller dans les hautes montagnes dont la paroisse est coupée, Il serait possible d'annexer sainte-Cécile, et de cette manière ils pourraient faire vivre un curé.

Plusieurs habitants de Sainte-Cécile allaient à la messe à St-Fabien, mais ce n'était pas la majorité, et peut-être que les gens du Bic ne seraient pas aisés à réunir avec St-Fabien.

La même proposition fut faite quatre ans plus tard, le 28 octobre 1846, ptre, curé de St-Simon.

Mgr Signay était plus confiant, au printemps 1845, il avait chargé Thomas Destroismaisons, curé de rimouski de chercher un endroit commode dans la seigneurie du Bic pour la construction des premiers édifices religieux.