Destroismaisons, desservant de la paroisse officiait.

Cette maison servait aussi de réunion pour l'office des Vêpres.

Dans le Bulletin Paroissial du Bic, daté du 14 juin 1925, on lit: Par une belle température idéale, nous faisons la procession dehors. Le cortège nombreux, marchant dans un bel ordre, accompagne le divin Sauveur jusqu'à la résidence de M. Aimé Leclerc. Point qui domine toute la Baie du Bic, avec sa couronne de caps et d'ilots verdoyants.

C'est un endroit historique pour nous. Il est marqué d'une croix, depuis l'origine de la paroisse.


Après l'inauguration canonique de la paroisse Sainte-Cécile du Bic, les habitants n'avaient pas la vie facile, ils manquaient de tout, même les choses nécessaires à la vie, écrivait Mgr Panet au curé de Rimouski.

Le défrichement à peine commencé produisait peu, il n'existait aucun débouché pour les produits de la ferme.

En plus, vers 1832, ils eurent à souffrir d'une désastreuse épidémie de choléra asiatique, apportée au Canada par des émigrants européens.

Il y eut plusieurs victimes dans les paroisses du bas du fleuve. Plusieurs souffrirent longtemps du mal, au détriment de la culture de la terre.

Après l'épidémie, il y eut disette. Pendant trois ans, on compta des pluies fréquentes et de violents orages de grèle, la culture en souffre...

En 1833, les habitants eurent l'aide du gouvernement pour les grains de semence.

La décroissance de la population passait à une crise redoutable, et, pendant quelques années semblables, on se demandait si la