Si les superficies diffèrent, le cheptel aussi. Il faut noter que 46.4% des personnes ont été fort imprécises dans le nombre de têtes de bétail qu'elles possèdent. Le tableau 2 nous le prouve aisément.

% des producteurs	Nombre de têtes
- 9%	- moins de 20
- 18%	- 20 à 29
4.6%	- 30 à 39
- 9%	- 40 à 49
- 13%	- plus de 50 soit, 78, 85 et 100
- (note 46.4)	- imprécision

Deux races sont à l'honneur: le limousin et le charolais. Il se trouve des gens ambitieux et confiant dans l'avenir parmi ces éleveurs. Certains projettent d'augmenter leur troupeau jusqu'à 200 même 250 têtes. Conditions: agrandissement de leur ferme, financement et garantie de rentabilité.

La variété dans l'importance du troupeau dénote l'obligation d'allier un autre genre de production à celui de l'élevage. Plus de 75% des éleveurs s'y voient contraints. Quelles sont ces autres productions? Le tableau 3 le démontre:

La localisation des 24.4% des agriculteurs qui représentent les éleveurs de bovins de boucherie est assez différente des diverses localisations précédentes. En effet, pour ce type de production, le premier rang en regroupe le plus, soit 45% dont 37% dans sa partie est. Puis le troisième arrive en deuxième position avec 37% dont 28% dans sa partie est. Les rangs intermédiaires , soit le deuxième et le petit deuxième ont respectivement 10% et 8% des éleveurs.

Tableau 3: Productions accompagnant celle du bovin.

% des producteurs	Type de production
- 22.7%	- Pommes de terre
- 19.0%	- Le lait
- 13.6%	- Cultures maraichères
- 9%	- Oeufs
- 9%	- Les porcs
- 4.6%	- Érablières
TOTAL 77.9%
- 22.1%	- Uniquement "bovin"