est moins "astreignant", moins "épuisant" et que d'autre part, il peut être pratiqué par un individu souffrant d'une incapacité physique quelconque ou par celui qui n'a pas de "relève". Un autre groupe d'éleveurs (27.2%) trouve que c'est la seule production agricole qui "permet un travail à l'extérieur". Enfin un troisième et dernier groupe ne représentant que 9% de ce type d'agriculteurs a choisi l'élevage parce que leur ferme était trop petite pour la production laitière.
Nathalie fait boire les veaux.
Tous ces producteurs n'ont certes pas une même étendue de terre. L'enquête montre un éventail assez élaboré de ces études. Avec la compilation des statistiques, on peut en retrouver quatre groupes. Par ordre décroissant en nombre, se classent d'abord 50.8% des éleveurs de boucherie qui ont des terres dont la superficie varie de 100 à 169 acres. Un deuxième groupe compte 32% des individus dont le nombre d'âcres de leur ferme varie entre 70 et 99 acres. Enfin, sur un pied d'égalité mais aux deux extrémités se situent 9% des producteurs bovins avec des terres de 180 à 209 acres et 9% aussi de la même catégorie d'éleveurs avec des fermes de 50 à 59 acres.