nous l'avons dit précédemment vient de la situation présente et à venir, le jugement sur la dernière, dépendant grandement de la première. Nous ne séparerons donc les deux. Pour 20% de cette catégorie d'agriculteurs, la "profession" est perdue. Les motifs sont fort variés mais s'apparentent tous par une teinte de pessimisme. Vous pouvez en juger:
"- Ce n,est plus proportionné au temps présent"
"-La profession demande trop de travail et les jeunes ne veulent plus en fournir sans recevoir de gros prix"
- Plusieurs autres raisons touchent la "dureté" du travail, les difficultés financières, avenir sombre ou tout simplement le "non-intérêt".
Cependant, environ 33% des agriculteurs croient à l'avenir mais selon certaines conditions qui sont liées tantôt à la personne elle-même, tantôt aux dirigeants, mais surtout à la question financière.
- à la personne:
* Profession intéressante pour celui qui veut travailler.
* Profession pour celui qui l'aime.
- aux dirigeants:
* Profession si elle est planifiée et unifiée.
* Profession si les gouvernement aident.
* Profession si les prix changent.
* Profession si c'est contrôlé.
- à la finance:
* Profession avec de gros investissements.
* Profession si la finance est stable.
* Profession pour celui qui a assez grand de terre.
L'insatisfaction est donc visible, mais comment régler ce problème ou comment ces hommes perçoivent-ils une autre vie, ou simplement qu'auraient-ils aimé faire et en ont-ils aujourd'hui les possibilités? Une bonne partie d'entre eux opteraient ou auraient opté pour un métier et surtout dans la construction, soit 33%. Le même pourcentage aurait voulu se faire instruire mais n'en ont pas eu l'opportunité. Enfin, l'autre tiers opterait pour un évantail de possibilités allant de débardeur jusqu'à agronome et docteur en psychologie.
De telles aspirations sont-elles à leur portée? Quant aux possibilités de
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