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Pour la paroisse, cette résolution traduisait le caractère minime de l'assimilation anglaise que devait faire face le Bas-canada. Après la construction de l'Église et les premiers pas du Conseil Municipal, la paroisse Sainte-Cécile du Bic était véritablement engagée vers le progrès. Il y a cependant, le départ de la Compagnie Price mais ce départ est comblé par la construction du Chemin de fer Intercolonial. "Les travaux, commencés le 24 mai 1869 sous la direction de Rodrick Mac Leman, devaient être livrés le 1er juillet 1871. Mais l'entrepreneur avait compté sans lesLa construction du chemin de fer intercolonial était terminée à l'été 1873; celle de la gare était terminée en 1875. (7) En plus, il y a d'une part le départ de la main d'oeuvre spécialisée du moulin Price, et d'autre part les ouvriers du chemin de fer. Cependant, l'agriculture et les entreprises bicoises faisaient bien vivre la population, qui continuait à se développer à un rythme intéressant. Aussi, le gouvernement fédéral, autorisait la construction d'un quai dans le havre du Bic. En 1885, plusieurs cultivateurs du 4ième rang, demandaient à l'Évêque du diocèse, la permission d'ériger une paroisse. Ce dernier acquiesçait à leur demande, et la nouvelle paroisse de Saint-Valérien retranchait une partie du territoire de la Municipalité du Bic. Entre temps, plusieurs travaux étaient faits pour l'amélioration de l'église; on l'avait recouvert de briques, on avait acheté un orgue, etc. Malheureusement, dans la nuit du 18 août 1890, 22- J.D. Michaud, Le Bic, Tome II, p.157 |
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